L’ÉQUIPE DE VOTRE FORMATION SUPÉRIEURE
Les co-fondateurs
Floyd Novak
Le fondateur de la fédération nationale d’éducation populaire à la transition écologique Conscience et Impact Ecologique (CIE). Il est enseignant en écologie politique à l’Institut d’Etudes Politiques de Lyon (IEP), à l’école de commerce 3A, à l’Ecole Catholique des Arts et Métiers (ECAM) et à l’Institut Transition. Il est l’auteur d’un ouvrage portant sur la lutte contre le productivisme néolibéral grâce à une transition écologique exigeante « Un monde à changer » aux éditions Marie Delarbre. Il est également Conseiller Métropolitain de la métropole de Lyon et Conseiller délégué à la politique des déchets de la mairie de Villeurbanne.


Amandine Lacoste
Elle a récemment terminé sa formation dans la Transition Ecologique et Solidaire au sein de l’Institut Transitions à Lyon. Une reconversion de carrière après 12 ans d’expertise dans la communication et la formation. Après 8 ans basée à New York en charge de l’image de marque du marché nord-américain d’un grand groupe de prêt à porter français, de retour en France, elle prendra la direction communication d’une chaîne d’hôtels éco-responsables qui petit à petit la mènera à un changement plus radical pour mettre ses compétences au service de la transition.
Franck Janin
Ingénieur de formation. Après avoir travaillé pendant près de 9 ans dans le secteur industriel, dont 2 années en tant que responsable d’un bureau d’étude, il questionne fortement sa vie professionnelle et le sens de celle-ci. Finalement convaincu qu’il ne souhaite plus alimenter un modèle de société auquel il ne croit plus, il se met en quête d’une voie professionnelle ayant plus d’utilité pour le monde. Actuellement, il termine une formation dans le domaine de la Qualité/Sécurité/Environnement et de la Responsabilité Sociétale, avec l’envie de mettre son énergie et son temps au service d’un futur soutenable et souhaitable.


L’équipe pédagogique
(en cours de construction)

Nicolas Laurence
D’une formation initiale en comptabilité, finance et gestion, Nicolas Laurence est finalement devenu enseignant-chercheur en économie à l’Université Lumière Lyon 2 et à l’IEP de Grenoble. Docteur en économie et qualifié Maître de conférences, il a réalisé sa thèse sur les alternatives monétaires et en particulier sur la contestation portée par les cryptomonnaies et les monnaies locales à l’encontre du régime monétaire existant.
Ses travaux l’ont amené à mobiliser différentes sciences sociales – pensées comme complémentaires à l’économie – telles que la sociologie, les sciences politiques, l’histoire, ou encore le droit. Cette approche pluridisciplinaire lui a permis de saisir l’évolution des institutions en la matière.
De manière plus générale, ses travaux s’inscrivent dans un besoin d’interroger le système existant, d’étudier les façons de le remettre en cause et de comprendre les freins à son évolution. Analyser la dynamique institutionnelle est aussi un levier nécessaire (mais non suffisant) pour répondre à l’une des problématiques les plus brûlantes : la destruction du climat et du vivant.
Outre les questions de recherche et d’enseignement, il participe au déploiement des monnaies locales en étant bénévole à la Gonette (la monnaie locale de Lyon) et membre du Conseil scientifique du Mouvement SOL (le mouvement des alternatives monétaires en France).

José Gonzalez Enriquez
Après avoir obtenu un D.E.A en études ibériques et ibéro américaines, José González Enríquez se passionne pour l’ethnographie et, dès 1994, il réalise ses premières enquêtes de terrain chez les Indiens yaqui. En 2003, il obtient son Doctorat en Sociologie et Anthropologie à l’Université Lumière Lyon II, suivi par la publication de son premier livre : « Les Yaqui – Un manuel d’ethnographie appliquée », présentant une méthode d’enquête innovante sur les éléments d’intermédiation et les modalités d’interaction.
En 2004, comme chercheur associé, à la UIDPINO —Colegio de Sonora – Hermosillo, Mexique— il coconstruit et collabore au projet : Genre III : Santé et stratégie de vie chez les peuples amérindiens du Sonora.
De 2006 à 2015, il est chercheur associé au C.R.E.A (Centre de Recherche et d’Etudes Anthropologiques – EA 3081) de l’Université Lumière Lyon II, où il incorpore, avec plusieurs chercheurs du département d’anthropologie, le pôle « Globalisation et Religion », dont l’objet est d’analyser les traditions et religiosités contemporaines.
Toujours impliqué dans son engagement ethnographique, il poursuit, depuis 2009, son internalisation chez les Indiens yaqui et a accompli la manda (promesse triennale ou à vie que les Indiens yaqui s’imposent) lors du cycle sur trois ans de la célébration du Carême.
À partir de 2015, préoccupé par les problématiques du vivre-ensemble, il rejoint l’UMR 5600 Environnement, Ville et Société sur le projet : « Bien-être en ville : nature, santé et inégalités intra-urbaines et inter-urbaines. »
À cette même époque, il décide de suivre la formation de Coordinateur de Projet en Solidarité Internationale à l’Institut Bioforce Développement. Plusieurs missions à l’étranger (Madagascar, République Démocratique du Congo, Rwanda) ont alors été effectuées.

Mallory Carlu
Mallory Carlu est docteur en Physique, il approfondit sa compréhension du monde par un travail de recherche sur l’instabilité et le chaos, et à travers un quotidien où il lui est donné le temps de la rencontre et de l’exploration hors de ses sentiers battus.
Après 3 années mouvementées dans un contrat post-doctoral au sein du HumanBrain Project, les sirènes d’alarme du monde le sortent de l’ivresse de la recherche scientifique. Il ne tentera plus d’en faire bouger les lignes pour la rendre plus vertueuse. Il fait le choix d’intégrer en septembre 2021 la formation Nouvelles Voies de l’Institut Transitions.
Ce programme lui permet non seulement de s’ouvrir à des sujets qui lui étaient jusque-là étrangers, mais aussi de creuser ce qui l’anime, et surtout de rencontrer, l’amenant ainsi à affiner quel genre d’être humain il veut être. Aujourd’hui, il souhaite s’engager dans la construction d’une pédagogie de la complexité au service de mises en dialogues et en questions des mondes que nous habitons, afin de les rendre viables, vivables, souhaitables.

Mathilde Cortinovis
Après des études en science politique à la Sorbonne et un mastère à HEC en gestion de projets, Mathilde s’est lancée dans la création d’Équilibres Café, un lieu écoresponsable et solidaire à Lyon en 2018, qu’elle co-gère depuis. En plus de la gestion du lieu, elle co-gère depuis 2 ans des formations autour de la création d’entreprise éthique. Elle enseigne également des cours sur les business models, l’économie sociale et solidaire et les questions d’égalité de genre à l’ESI et à l’Institut Transitions.
Depuis 2020, elle est élue à la mairie du 1er arrondissement de Lyon sur les questions d’alimentation durable et accessible et le zéro déchet, zéro gaspillage.
Passionnée par les questions de genre, l’entrepreneuriat social et la pâtisserie, elle aime apprendre et transmettre autour des sujets divers, qui ont tous en commun la création d’une société plus juste et plus durable.

Félix Lançon
D’une formation initiale en physique, chimie et mathématiques, Félix Lançon s’est spécialisé dans le domaine de l’environnement en étudiant les liens entre le changement climatique et les problématiques juridiques, sociales et économiques. Ce désir de connaître en détail les sujets écologiques est apparu suite à des cours et des conférences donnés par des membres du GIEC au cours de son master à Grenoble. Face à ce constat alarmant, il devient un membre actif d’une association dans le monde de l’environnement.
En parallèle, il rédige des articles expliquant la relation entre le changement climatique et les choix économiques et politiques et les partage sur les réseaux sociaux. La pédagogie et la sensibilisation au changement climatique est selon lui l’une des solutions les plus efficaces pour préserver notre environnement.
Entrepreneur du monde de demain, depuis fin 2020, il a démarré la création d’une entreprise afin de développer des solutions pour aider tout type de structure à devenir plus résiliente.

Audrey Ranchin
Après des études d’histoire-géographie, de science politique, de droit public et d’urbanisme, Audrey exerce en cabinet privé en tant que chargée de projets dans la planification urbaine puis treize ans dans des collectivités en tant que responsable de services urbanisme et environnement. Elle a également été formatrice au CNFPT sur les enjeux et les procédures en matière de planification et de projets urbains. Décidée à mettre ses compétences au service de la transition écologique et solidaire, elle intègre l’Institut Transitions qui consolide ses intuitions et lui donne une meilleure compréhension des enjeux, des acteurs et des leviers pour changer de paradigme ! Ayant à cœur de transmettre et d’accompagner les étudiants sur cette même voie, elle s’investit dans la création d’Écologica.
Passionnée par la question de nos liens au vivant et celle de la crise de la sensibilité, elle a mené un travail de recherche sur le récit « écobiographique » comme compréhension renouvelée de ces liens. Elle a la conviction qu’une écologie personnelle – prendre soin de soi, des autres, humains et non humains et de la planète – amène à une écologie politique. Elle souhaite accompagner les étudiants dans leur parcours de vie, vers « la vie bonne », selon l’expression d’Hartmut Rosa, pour eux.

Siméon Baldit de Barral
Terminant des études d’ingénieur civil spécialisé dans les constructions durables, Siméon Baldit de Barral décide de réaliser un tour du monde à vélo. Au fil de 18 000 km sur les routes d’Europe, d’Asie et d’Amérique Latine, il interroge des citoyens, des paysans, des militants ou des politiques sur les enjeux écologiques globaux, leurs réalités locales, et les mises en actions sur diverses thématiques. Au retour, il partage ses expériences sous forme de conférences, d’expositions photo puis d’un film documentaire, largement diffusé. Sur demande d’autres voyageurs, il commence à accompagner d’autres projets et à transmettre les apprentissages audiovisuels de terrain. Autour de ces accompagnements et de la diffusion de reportages voyageurs, la communauté de l’association On The GreenRoad grandit et sensibilise le grand public aux multiples facettes planétaires des questions socio-environnementales, notamment lors du Festival du Voyage Engagé.
S’appuyant sur ces expériences, Siméon anime des formations au Voyage à Impact Positif, au journalisme de solution et à la création de médias. Il accompagne aussi des initiatives au sein de la pépinière d’Anciela, des mémoires dans le cadre des parcours de l’Institut Transitions, et participe à développer à Lyon un réseau d’acteurs du Tourisme à Impact Positif et Solidaire (RéseauTIPS). Il continue aussi à créer des vidéos pour la web-série Voix de Traverses, et initie un projet documentaire sur le « Bâtir, demain.

Sofia Popoff
Diplômée en sciences politiques, Sophia Popoff a entamé la première partie de sa carrière à Bruxelles, au sein des institutions européennes, à développer les relations entre l’Union Européenne et les pays de l’est, en premier lieu l’Ukraine.
Son engagement écologiste se consolide à l’occasion des négociations gazières de 2015, et du fait de ses engagements associatifs notamment la création d’un supermarché coopératif. En quête de sens mais aussi d’un plus grand pouvoir d’agir, elle quitte Bruxelles en 2018, s’installe à Lyon où elle effectue une transition professionnelle vers le secteur des énergies renouvelables. Elle exerce ainsi pendant deux ans la fonction de responsable collectivités et affaires publiques chez un énergéticien. En 2019, elle s’engage dans la campagne électorale avec les écologistes ; campagne victorieuse qui lui permet de prendre des responsabilités politiques à la ville et la métropole.
Aujourd’hui, elle conjugue valeurs et compétences à travers ses activités associatives, militantes et politiques. Elle est notamment chargée des politiques d’habitat et de renouvellement pour la ville de Lyon, ainsi que des politiques d’égalité et de santé pour le 5e arrondissement de Lyon.

Clémentine Mossé
Consciente depuis son adolescence des limites de notre modèle de société, Clémentine Mossé a choisi d’arrêter son métier d’ingénieure dans la mobilité urbaine afin de se consacrer à la transition écologique.
Elle a fondé en 2016 l’association The Greener Good, qui œuvre à sensibiliser les citoyen·ne·s aux modes de vie et de consommation soutenables.
En parallèle, elle a cofondé l’Institut Transitions, qui accompagne des personnes souhaitant mettre leurs compétences au service de la transition écologique et solidaire.
Elle partage aujourd’hui son temps entre la direction de The Greener Good, la formation et l’accompagnement de projets.
Nos intervenants en séminaires
(en cours de construction)

Abou-Bakr Abélard Mashimango
Docteur en sécurité internationale et défense, Abou-Bakr Abélard Mashimango est, en outre, diplômé en droit, sciences politiques et relations internationales et en droit international des droits de l’homme, spécialité « Pratique des organisations internationales et protection des droits humains ».
Ses travaux se situent au croisement de la polémologie et la géopolitique. Ils s’inscrivent dans une approche interdisciplinaire et transversale qui articule plusieurs unités d’analyse des sciences humaines et sociales, intègre une culture de la transmission de l’humanité inhérente à la condition de l’Homme et pose la question de développement durable et droits humains.
Pendant plusieurs années, il a eu à impulser l’activité des services publics et de solidarité internationale dans une approche de coopération efficiente au carrefour de l’action administrative, sociale, politique et diplomatique ; à favoriser les démarches des projets innovants et à participer à la déclinaison des orientations politiques et des objectifs stratégiques en programmes d’activités.
Il est président-fondateur du Centre International d’Etudes et Recherches sur les Conflits armés (CIERCA) et de l’Initiative Droits Humains et Développement Durable (I.D.H.D).